Chambre de Laïka

C'est une grande pièce elle a une petite fenêtre qui donne sur la cour, donc Laïka peut voir ce qui si passe sans changer de pièce.La chambre est asser grande pour contenir deux lits un pour elle et un pour son futur écuyer.Il y a aussi quelques meubles qui servent à y entreposer des objets personnels tel que du linge, des livres ou des objects aux quels le chevaliers tien beaucoup.
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Ce soir la Laïka n'arrivait pas à dormir elle décida donc de se rendre à la bibliothèque pour se renseigner sur les hommes insectes et leurs terribles dragon...

Après l'entraînement avec Juliann Laïka se dépêcha de se rendre à sa chambre pour aller se chercher une tunique propre. Et ensuite elle se rendit dans la salle de bain réservé aux femmes.

En attendant le chevalier cogner à la porte et elle alla l’ouvrir.

-Bon je t’écoute que vais-je devoir faire aujourd’hui ?

-Ah! Oui J'approuve!Moi aussi je commence à avoir faim!!! Elle partit vers la salle à manger en courant comme s'il y avait le feu...

-Aller vite Juliann j'ai faim moi dit-elle en riant au éclat.

Après cette belle journée passée en compagnie de Juliann et Lektath.Elle alla se coucher sans prendre la peine d'aller souper avec ses compagnos d'armes.Là encore elle entendi un bruit de pas et vit une ombre dans le cadre de la porte...Elle se dit qu'elle irait en parler à Tarrix le lendemain.Car bien qu'elle entendit des bruit de pas et vit une ombre elle ne persevait pas une personne inconnue dans le château...

Elle regarda surprise l'immortel était-il vraiment inquiet.

-Non je n'ai rien mais quand j'ai été à l'écurie j'ai entendu des bruit de pas et il n'y avait personne.Pis quand je suis revenu dans ma chambre j'ai entendu des bruit de pas et vu une ombre.Puis j'ai sondé le château mais il n'y avait aucun inconnu.Je me demandais si tu avait senti quelque chose.

Elle envoialla un message télépatique qu'il était le seul a entendre.

Merci parce que jai senti de l'ostiliter.Elle n'avait pas vraiment d'être une âme gentille.

Tarrix apparût accompagné de Laïka dans la pièce qui servait de chambre a coucher à la chef des chevaliers.
Il s'asit sur le lit en attendant que la jeune femme reprenne ses esprits.

Après quelque secondes de repos elle fit un sourir à Tarrix et lui dit:

-Bon que voulais-tu me dire?Je t'écoute vas y.Dit-elle sur un ton décidé.

tarrix poussa un long soupir et envoya ses cheveux, qui lui chatouillaient le front, Derière ses oreilles. Il regarda Laïka et commença d'une voix percée de nervosité.

-''Je ne sais pas ce qu'est la chose que tu a vue,dit l'immortel en se redressant la tête, Parendar n'en sait pas plus lui non plus, il nous conseil de rester sur nos garde, il pense que se pourrait être une attaque de Kaïlla ou du sorcier de l'empreur, car ils sont sur Cristal, mais il vérifie quand même les plaines de lumières pour voir si personne ne s'est échappé.

-''Alors, avertie tes chevaliers, et dit leur de rester vigilants et de ne pas ébruité ça, je ferai de même avec Maèva.

[i]L'immortel se releva et diparût avec la fameuse lumière bleutée.[/i]

Elle arriva dans sa chambre elle accrocha ses armes sur le support prévut a cet effect et se désabilla puis se coucha.

Lorsque Laïka arriva dans sa chambre elle se dépècha d'enfiler son armure.Elle pris son bouclier.

-J'y vais... dit-elle a Léem.Elle déposa un baiser sur sa bouche puis se dirigea vers la sorti fit apparaître son épée double tout en sondant les alentour.Sorti dans le couloir.

Revenant sur ses pas.

-Soit prudent il peuvent être n'importe où.Je ne les sent pas.

Puis repartit dans le couloir tout en sondans les alentour et soudainement elle sentit une forte énergie dans les cachot.Ils doivent être sûrement l'à se dit-elle.Elle se dématérialisa.

Laïka arriva dans sa chambre et s'étendit sur son lit.Voyant le petit lit sur l'autre mur elle se rappela soudainement qu'elle avait un écuyer...

-Merde il faut que je le trouve...

Laïka sonda le château puias senti sa présence dans la salle du trone.

Karann arriva dans le couloir des chambres de l'aile des chevaliers. Il s'arrêta devant la porte de son nouveau "maître", incertain. Il soupira. Après quelques secondes d'hésitation, il se décida à frapper à la porte.

*Tête basse, je dois garder la tête basse devant mon maître s'il ne pas adressé la parole... maudit code.*

Il attendit patiemment avec son baluchon que son maître lui ouvre la porte de la chambre.